Avec l’aide du plan de relance, le groupe électronique angevin investit deux millions d’euros pour automatiser l’assemblage de composants sur son usine de Combrée, qui l’a vu naître en 1975.
Pousser la porte d’une usine éolane, c’est entrer dans le monde de l’infiniment petit. Derrière les murs blancs du site de Combrée, où travaillent 360 salariés, sont assemblés chaque jour des millions de composants électroniques, dont les plus fins sont presque invisibles à l’œil nu. Des particules de poussière bourrées de technologie.
On travaille au micron près, aucun humain n’est capable d’une telle précision.
pose le directeur de l’établissement, Alain Umenhover. Les machines, si.
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